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Galloglas
Guest
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 Posted: Fri Apr 08, 2011 10:35 am |
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This interesting French website points out that Louis was technically obliged, whilst still a French citizen, to report for his Conscription year, making other interesting remarks.
L'ardent patriotisme qui l'anime lui fait voir, avant toute chose, l'int�r�t seul de la France, pour laquelle il voudrait un pouvoir fort, seul capable � ses yeux de r�aliser ce qu'un gouvernement d'assembl�e ne saurait ex�cuter, lui redonner son prestige. M�me si la situation semble provisoirement bloqu�e, des signes �vidents montrent que le bonapartisme remonte dans l'opinion. La place tenue � l'Assembl�e par les d�put�s de l'Appel au Peuple, est plus importante que leur nombre. Gambetta, quoi qu'il en dise, redoute l'influence � venir de celui qu'il affecte d'appeler, par d�rision, "le gamin de Woolwich". Le prince n'ambitionne pas de renverser la R�publique. Il est persuad� qu'elle va s'user, en proie � ses contradictions et � la m�fiance que suscitent les intrigues de toutes sortes dans lesquelles elle baigne. Alors son heure viendra.
Plus que jamais il �prouve le besoin de se faire conna�tre du plus grand nombre de Fran�ais. La nouvelle loi sur la conscription en vigueur en France lui donne le droit, don't il va user, de faire tirer son nom au sort en m�me temps que les autres citoyens de sa classe. Mais le 28 janvier 1878, appel� sous le nom de Bonaparte, son num�ro, le 307, ne sera pas retenu.
La vie qui lui est offerte en Angleterre est sans doute attrayante pour un gar�on de son �ge. La haute aristocratie lui ouvre ses chasses, l'invite � ses r�ceptions et � ses bals, m�me la reine Victoria, qui �prouve pour lui une r�elle affection, l'accueille volontiers � la Cour. Louis ne peut pourtant s'accommoder de cette vie oisive qui conviendrait � beaucoup de princes en exil. En mars 1878, il va nourrir l'espoir d'un vrai service ext�rieur, qui e�t �t� conforme � ses voeux, lorsque l'Autriche s'engage dans un conflit territorial dans les Balkans, en Bosnie-Herz�-govine, mais il re�oit un refus poli mais ferme de la part de l'empereur Fran�ois-Joseph. En attendant, le prince ronge son frein.
Sur l'invitation du roi de Su�de, Oscar II, il part visiter les pays scandinaves en juillet 1878. Accompagn� du comte Joachim Murat, pr�sident du groupe de l'Appel au Peuple � l'Assembl�e et du fid�le Pietri, Louis va s'arr�ter d'abord au Danemark, re�u � Copenhague par le vieux roi Christian IX, avec les honneurs souverains. Successivement il visitera Malm�, Drottningsholm, Stockholm et Goteborg. En compagnie du prince h�ritier Gustave, le voyage se poursuit en Norv�ge, dans la r�gion du Thelemark. Poursuivant en touriste, il fait des promenades sur les lacs de Tinsj� et de Nordsj�, les ascensions du Rjukanfos et du Ravnejuvet, avant une croisi�re dans le Christiana fjord au cours de laquelle il �tonne ses h�tes en plongeant du pont du navire dans les eaux glac�es.
Pour le 15 ao�t, date de sa f�te, il est de retour � Arenenberg o� il va passer ses derni�res vacances, accueillant de nombreux visiteurs, notamment le cardinal de Bonnechose, archev�que de Rouen, qui n'a pas h�sit� � s'exposer aux repr�sailles r�publicaines pour venir s'entretenir avec lui.
L'hiver s'annonce morose ; le 30 janvier 1879, le mar�chal de Mac-Mahon a d�missionn�, sans laisser de regrets aux bonapartistes. Il sera remplac� par Jules Gr�vy, honn�te homme en faveur duquel le prince pr�conise "une sympathique abstention".
La mort du Prince imp�rial
Si aucun �v�nement de quelque importance n'est � ce moment en vue en France, il n'en est pas de m�me en Angleterre o�, le 11 f�vrier, parvient l'ahurissante nouvelle du d�sastre d'Isandhlwana. Aux confins de l'Afrique du Sud, au bord de la rivi�re Tugela, le 22 janvier, les Zoulous avaient, en moins d'une heure, surpris, attaqu� et tu� huit cents soldats et trente officiers de la vaillante arm�e britannique. D�s qu'il en est inform�, le cabinet de Londres d�cide l'envoi de troupes importantes pour une exp�dition punitive, et les engagements de volontaires et de jeunes officiers se multiplient. Parmi ceux-ci, plusieurs camarades du prince viennent � Camden Place lui faire leurs adieux avant de s'embarquer. Ayant rapidement pris sa d�cision, d�s le 17 f�vrier, Louis fait part au ministre de la Guerre de son d�sir de s'engager, mais le duc de Cambridge refuse. Ne se tenant pas pour battu, le prince supplie sa m�re d'intervenir aupr�s de la reine Victoria et, devant une telle pression, mais avec beaucoup de r�ticences, l'autorisation est enfin accord�e, le 24 f�vrier. Louis pourra rejoindre, � Durban, la division que commande le g�n�ral en chef Chelmsford. Le ministre �crit � celui-ci : "Ma seule crainte est qu'il soit trop courageux." Le prince ne partira toutefois qu'en observateur, n'exercera aucun commandement et ne figurera pas aux r�les de l'Arm�e. Aucune supplication de ses partisans n'a pu le faire revenir sur sa d�cision. En toute h�te il pr�pare son �quipement, qui a d�j� servi � Napol�on III et don't le cuir est fatigu�, refuse la suggestion de plusieurs jeunes Fran�ais qui lui ont proposer de l'accompagner, et n'accepte que les services d'Uhlmann, auxquels il est habitu�. A ses amis, aux dirigeants du parti, il fait part de sa d�cision, don't il leur donne, par lettre, les raisons, toutes politiques : "Lorsqu'on appartient � une race de soldats, ce n'est que le fer � la main qu'on se fait conna�tre." La veille de son d�part il r�dige son testament et, le 27 f�vrier, apr�s s'�tre recueilli une derni�re fois aupr�s du tombeau de son p�re, il s'embarque � Southampton, sur le Danube qui fait voile vers Le Cap o� il arrive, apr�s une courte escale � Mad�re, le 26 mars.
http://www.napoleontrois.fr/dotclear/index.php?post/2006/03/25/11-le-prince-imperial
G
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Galloglas
Guest
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| Posted: Tue Apr 12, 2011 2:04 pm |
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The fun of it is we do not necessarily need to be 'right' where foreigners are concerned.....
I'm certainly no expert on swords or styles of portraiture in this period. However, an artist could rise to great prominence and very lucrative earnings if patronised by the likes of the "Emperor-in-the- making."
David's atmospheric portrait(s) and their public display at judicious moments also helped to project, even protect, N's image, interests and ambitions, as he climbed the ladder of securing his position in military and political France.
No surprises then if there are bits of artistic licence and in some instances only sufficient attention to detailed authenticity to indicate portraiture of the live individual rather than painting from other work.
There are numerous lively approximations of Zulu War scenes in the published imagery of The Graphic and the ILN, and we should not be too surprised at errors and extemporisations in them. I forget who the artist is, but there is a vivid picture of Prince Louis 'at bay' in his final moments. The sword depicted there is usually taken to resemble the sword carried by him on campaign, though very probably using a modernised steel scabbard.
Now, where were we....?
G
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